Créé en 2004 par Cendrine et Charlaine Cartegnie et Philippe Jallais avec l’intention de «révolutionner la transformation du métal en feuilles», Synertek est une entreprise qui offre des services de découpage, pliage, sertissage, soudure, assemblage, finition de métal, panneautage, gravure laser, placage et pièces sur mesure.

Depuis janvier 2023, les trois fondateurs ont quitté pour la retraite et Audrey Lafrance-Coutu, Sébastien Isabel, Louise Dion et Mathieu Brochu se sont joints à l’équipe d’actionnaires, qui compte aussi Francis Cartegnie.

Misant sur «la qualité, l’attention et l’approche client», l’entreprise a reçu certains prix et des distinctions depuis ses débuts.

Effectivement, Synertek s’est notamment mérité le prix Reconnaissance conciliation travail-famille (région de la Chaudière-Appalaches) du ministère de la Famille en 2014 et le prix Distinction avenir des Grandes distinctions Desjardins en 2015. L’entreprise a aussi figuré parmi les finalistes au gala des Pléiades 2007 et 2019, d’abord dans la catégorie Le Performant et ensuite, dans la catégorie Mérite Succès RH.

 Une formation nécessaire

 Dans le but de poursuivre vers de nouveaux objectifs en réduisant l’impact environnemental de leurs services, Synertek a donc offert à 80 de ses employés la chance de suivre une formation du Fonds de solidarité FTQ sur les changements climatiques.

«L’objectif de la formation est de créer un milieu d’échange sur les enjeux importants comme les changements climatiques. Elle vise aussi à donner des compétences de base aux personnes pour comprendre et différencier les concepts en lien avec les changements climatiques, comme la différence entre le climat et la météo. On veut rendre le tout accessible à tous», a expliqué Jeannot Bradette, directeur principal du CFE du Fonds de solidarité FTQ.

Ainsi, les employés de Synertek ont pris part à cette formation qui s’est divisée sur trois plages horaires d’une heure chacune. Autant pour les dirigeants de l’entreprise et ses employés que le Fonds de solidarité FTQ, cette expérience a été «un grand succès».

«Ça a été très bien reçu de notre côté. On se rend compte que, plus on informe et on outille nos employés, plus ils peuvent faire une plus grande part pour la planète. C’est avec ce genre de projet que nous pouvons rendre notre impact positif. Nous avons tous un rôle à jouer et on se met en action pour la suite. Comme entreprise, nous avons une responsabilité sociale et environnementale. La formation offerte par le CFE est directement alignée avec les valeurs de Synertek et notre engagement à réduire notre impact environnemental dans une perspective d’économie circulaire et de lutte contre les changements climatiques. On quitte avec le sentiment d’avoir un rôle à jouer et des moyens concrets pour passer à l’action», a mentionné Audrey Lafrance-Coutu.

De leur côté, les employés de l’entreprise de Lévis se sont dits «très heureux d’avoir pu y participer et en apprendre sur le sujet».

«La rencontre sur les changements climatiques avec les deux intervenantes a été très conviviale. Elles nous ont conscientisés en décrivant la réalité à laquelle nous faisons face, comment expliquer ces changements et comment faire notre part. Ce fut une belle rencontre», a conclu Laurent Lemelin, employé chez Synertek.