Rappelons que pour «aider les aînés actifs qui désirent rester à la maison ou qui souhaitent continuer à travailler», le PLQ veut mettre en place une «Allocation aînés» de 2 000 $ variable en fonction du revenu, offrir un congé de cotisation au Régime des rentes du Québec pour les 62 ans et plus, doubler l’exemption d’impôts pour les personnes de 65 ans et plus pour la faire passer à 30 000 $ ainsi qu'instaurer la gratuité du transport en commun pour les Québécois de 65 ans et plus.
Pour venir en aide aux aînés qui ont besoin de soins ou de services, les libéraux souhaitent prioriser les aînés dans l’accès à un médecin de famille, déployer des unités de soins intensifs à domicile dans toutes les régions du Québec, former deux fois plus de gériatres, implanter des «ratios personnel-patient sécuritaires» dans tous les CHSLD, déployer des pharmaciens d’établissement dans tous les CHSLD, assurer un meilleur financement des organismes communautaires qui œuvrent auprès des aînés à domicile ainsi que déclencher une commission d’enquête publique sur la gestion de la pandémie «afin que plus jamais le Québec ne traverse une telle autre tragédie».
«Le plan libéral pour les aînés propose de leur donner les moyens nécessaires pour s'accomplir ou pour prendre soin de ceux qui ont des besoins plus particuliers, notamment des enjeux de santé, incluant la santé mentale. Au Parti libéral du Québec, nous considérons que l'État a la responsabilité d'être présent et de leur offrir l'aide nécessaire», a conclu Richard Garon.