Les hommes politiques ont été invités à répondre aux questions des jeunes au sujet de la vision de leurs partis en matière d’environnement et en ce qui a trait à l’importance de la protection de l’environnement pour les Québécois et les Québécoises, en comparaison avec la Belgique.
Les transports ont été au cœur de la rencontre, alors qu’il a été question du réseau ferroviaire public développé reliant la plupart des grandes villes belges, contrairement au Québec, où «nous accusons un lourd déficit en infrastructures de transport en commun», peut-on lire dans un communiqué.
Puis, Olivier Bolduc a discuté des idées de Québec solidaire dans son Plan de transition économique, parfois inspirées de politiques européennes comme la gratuité des transports collectifs à Dunkerque (France) et l’interdiction de vendre des voitures à essence en Norvège, à partir de 2025.
La question de l’absence de promesses dans la plateforme électorale 2018 de la Coalition avenir Québec sur la protection de l’environnement et la lutte aux changements climatiques a aussi été soulevée.