Par Serge Lamontagne - Collaboration spéciale La Voix du Sud
Une page de l’édition août/septembre/octobre est consacrée à l’artiste bellechassois qui y présente des peintures et animations sur roches qui, souligne-t-il, sont de plus en plus prisées de la part des acheteurs.
Si sa participation n’est pas gratuite, M. Bonneau ayant eu à débourser une importante somme d’argent pour s’y afficher, il croit que cet investissement en vaut la peine puisqu’elle lui permettra de se faire connaître d’une importante clientèle basée partout en Europe, au Moyen-Orient et en Asie.
«On y retrouve de gros annonceurs comme Cartier, Rolls Royce et bien d’autres», mentionne M. Bonneau qui ajoute que la revue, tirée à 5 000 exemplaires, se retrouve notamment dans 300 cabinets d’avocat de renom, ainsi que dans 360 galeries d’art en France, en Russie, à Dubaï et même en Chine.
«Je suis déjà connu en Europe, mais il s’agit de mon dernier grand coup là-bas. Des artistes de renom paient le gros prix pour y être et j’espère attirer l’attention d’une importante galerie d’art qui serait intéressée à vendre mes œuvres en consignation, par exemple», souligne celui qui compte 40 ans de métier.
Autre objet de fierté pour Daniel Bonneau, la présence de l’une de ses illustrations, une marte, en page couverture du Carnet du piégeur du ministère de la Faune, de la Forêt et des Parcs. Tiré à 10 000 exemplaires et valide pour une période de 10 ans, ce carnet a été simplifié afin d’inciter les trappeurs à déclarer davantage leurs captures, ce qui, selon M. Bonneau, permettra d’avoir un meilleur recensement des populations et d’améliorer la réglementation sur le sujet.