C'est principalement grâce à sa «friperie solidaire» de 2 000 pieds carrés, ayant pignon sur rue le long de la route du Président-Kennedy dans le quartier Pintendre, que TextiVert était connu dans la région. À cet endroit, l'entreprise vendait des vêtements et chaussures récupérés donnés par des particuliers.
TextiVert voulait également proposer la récupération des textiles souillés ou déchirés, mais c'est en raison d'un échec dans ce domaine que l'organisme à but non lucratif a dû mettre la clé sous la porte.
«TextiVert est né d'un partenariat avec une entreprise montréalaise, nous avions pour mandat d'opérer leur ligne d'effilochage. Malheureusement, en début d'année, notre partenaire a pris la décision de mettre un terme à ce projet, nous laissant dans l'incertitude quant à l'avenir de notre activité. Nous avions lancé la friperie en parallèle, dans le but de donner une seconde vie aux textiles en bon état et ainsi éviter leur effilochage. Cependant, à la suite de la situation avec notre partenaire, nous avons pris la difficile décision de fermer Textivert dans son intégralité», a expliqué l'entreprise d'économie sociale sur sa page Facebook.