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Pour ma deuxième chronique, j’ai le goût d’échanger avec vous mes réflexions sur le don. Nous savons qu’en cette période automnale, nous sommes sollicités par plusieurs organismes pour aider les plus démunis de notre société.

Je vous rassure d’emblée, je ne me suis pas métamorphosé en chroniqueur politique au cours des dernières semaines. Si je suis conscient que les deux circuits sont à des années lumières l’un de l’autre, je pense depuis longtemps qu’U Sports, l’organisation qui chapeaute les ligues sportives universitaires à travers le Canada, devrait mettre en place un système de divisions pour le football universitaire au pays de la feuille d’érable. Comme c’est le cas chez nos voisins du sud.

Je suis retraité et j’ai fait une belle carrière de plus de 27 ans dans le domaine financier. Via ma chronique, je vous aiderai à démystifier plusieurs enjeux liés aux finances personnelles. Pour cette première chronique, j’en profite pour me présenter. Au cours des prochaines semaines, je vous proposerai plusieurs sujets de base, d’actualité ainsi qu’un peu plus poussés, mais importants à comprendre.

Au grand dam des élus de Québec, il était plus que temps que Lévis cesse de financer l’inefficace transport en commun de Québec à même nos plaques d’immatriculation.

Il y a quelques mois, une tendance a émergé sur les réseaux sociaux, connue sous le nom d'«underconsumption core». Cette mode incitait les utilisateurs à partager des vidéos mettant en valeur des objets qu'ils possédaient depuis longtemps et qu'ils continuaient d'utiliser, au lieu de les remplacer par de nouveaux. Une bouteille d'eau vieille de 10 ans, un chandail de 15 ans, une voiture de 20 ans… L'objectif était de montrer qu'il est possible d'user les objets que l'on a, sans céder à la pression d'acheter «la nouvelle version».

«On s’est vomi dessus», a lâché Martin St-Louis, l’entraîneur-chef des Canadiens de Montréal, pour analyser le revers de 6-3 du Tricolore face aux Capitals de Washington, jeudi. Le pilote de la Sainte-Flanelle devra trouver rapidement le médicament pour que ses protégés retrouvent du tonus. Et également permettre de supprimer les brûlements d’estomac que sa troupe provoque auprès de ses partisans depuis un certain temps.

À la suite de l'annonce de la ministre des Finances du Canada, Chrystia Freeland, les acheteurs de maisons et condos pourront, à compter du 15 décembre prochain, amortir leur prêt hypothécaire pour une période d'amortissement maximale de 30 ans au lieu de 25. Quelle fausse bonne nouvelle pour les acheteurs!

Cette première chronique se doit de débuter avec un sincère remerciement à l’équipe du Journal de Lévis pour cette invitation. Nous sommes heureux d’avoir cette tribune et d’amener une perspective issue du développement social, du développement des communautés aux diverses voix qui enrichissent déjà par leurs écrits les pages du Journal. Aujourd’hui, nous vous invitons à connaître l’histoire, l’engagement et le rôle de la Corporation de développement de Lévis (CDCL).

Malheureusement, deux de nos grands clubs québécois semblent avoir oublié un élément essentiel pour leurs activités. Tout comme une maison, il faut avoir des fondations solides pour pouvoir connaître du succès dans la durée parmi les habitants de la terrible jungle du sport professionnel.

À l'approche de l'hiver, les virus respiratoires font leur grand retour. Que ce soit dans les écoles, au travail ou lors de réunions familiales, ils trouvent toujours un moyen de s'infiltrer. Comment éviter de tomber malade? Quand consulter un professionnel de la santé? Et quelles sont les ressources disponibles pour éviter de se présenter à l’urgence pour un problème de santé non urgent?

Pendant qu’il soutirait des millions de dollars au gouvernement fédéral pour la modernisation de la Davie, l’ex-omni ministre s’employait à débloquer ses propres millions pour les entuber cavalièrement!

À quel point êtes-vous naïf? Cela est la prochaine question électorale provinciale pour la Rive-Sud.

Le passage de Gary Bettman à Montréal lundi, à l’occasion du premier match webdiffusé sur Amazon Prime Video opposant les Canadiens aux Penguins de Pittsburgh, n’aura laissé indifférent aucun membre de la confrérie des journalistes et analystes couvrant les activités de la Ligue nationale de hockey (LNH) au Canada. Pourtant, le commissaire du plus important circuit professionnel de hockey au monde nous a offert un nouvel épisode de ce qui fait son succès à la barre de la LNH depuis plus de 30 ans : son grand talent de négociateur.

C’est avec fierté et humilité que je signe, aujourd’hui, ma toute première chronique dans le Journal de Lévis. J’aurai le privilège de vous livrer ma réflexion personnelle sur des sujets aussi variés que multiples, autant d’ici que d’ailleurs, car ici, c’est ailleurs et ailleurs, c’est ici. Bonne rencontre avec Mamadou !

C’est fou comment souvent dans la vie, tout ne tient qu’à un fil. Décider d’aller pour la première fois dans un bar A plutôt qu’au repaire habituel et y rencontrer le grand amour. Ou prendre une route X à l’heure Y et subir un accident.

«Ce qu’il y a de bien quand on est mort, c’est que les gens nous laissent vivre en paix», une phrase percutante tirée du tout premier roman de Louis Roussel, Hors-Vivant.

Si pour ma deuxième chronique, vous vous attendiez à des critiques, vous aurez plutôt droit à une pluie d’éloges. Je tiens cette semaine à lever mon chapeau à la Ligue professionnelle de hockey féminin (LPHF – PWHL)! Le choix de l’organisation d’attribuer un nom propre et original à chacune de ses six équipes permettra au circuit professionnel de poursuivre sur la belle lancée qu’il connaît depuis ses débuts, à l’hiver dernier.

D’abord : heureux d’être des vôtres, et merci à l’équipe du Journal. Je suis très fier et reconnaissant de me joindre à cette noble institution lévisienne!

La rentrée scolaire est déjà entamée et, avec elle, le retour de certains services pour nos jeunes. L’un de ces services est celui offert par des infirmiers et infirmières scolaires. Saviez-vous que chaque jour, à travers les polyvalentes de la région, nous sommes présents pour veiller au bien-être de nos élèves?

En étant promu à la direction générale du Journal de Lévis, un défi emballant, j’ai cependant dû mettre de côté une passion qui m’a animé pendant tant d’années : écrire sur l’actualité.